mardi 1 février 2022

Quand le Paradis s'organise


 




C'est la vue que nous avons du toit de l'hôtel. Un hôtel qui coûte le tiers de son prix habituel à cause de la pandémie. C'est un hôtel qui a de la classe.




Nous avons des journées bien simples. Réveil à 7:00, farniente jusqu'à 7:30, on se lève, on monte au 9 ième étage pour déjeuner au buffet.




Puis, nous partons explorer la ville. Nous marchons jusqu'à 11:00 environ et revenons en touktouk. Nous avons appris à négocier les prix de touktouk maintenant.












Nous allons alors à la piscine et y passons du temps, beaucoup de temps. Ici, le soleil, la chaleur font de notre temps de piscine un moment incroyable de Dolce Vita. Lecture, natation, relaxation. Nous profitons du Carpe Diem à fond la caisse. Il y a aussi une piscine sur le toit de l'appartement que nous avons loué un peu plus loin dans la ville, c'était un pré-requis.



Par la suite, c'est la douche, un petit repos, petit verre à 16:00, on lit nos messages, j'écris mon blog et je me branche sur Jazzradio.com... très très chill! Vers 19:00, on repart à la marche vers les restaurants de la ville. Mon meilleur à date est un restaurant qui semblait plutôt ordinaire, mais lorsque Mai a lu le menu on la sélectionné. Le pire, nous l'avons eu hier soir... une pizzeria minable à des prix "exorbitants"... on s'est fait avoir encore... verre de vin à 6$ pizza sèche et trop salé peperoni qui se compte sur les doigts d'une main et fromage dégoulinant de gras pour 16$... Mauvais, mais là, très mauvais, pire qu'à la Havane, pas fier là.



Pas de photo des plats, seulement Mai et son cell en attendant le  service.


Puis nous revenons à l'hôtel en tooktook pour 1.50$ à 2.00$, allons prendre un verre sur le toit de l'hôtel qui offre une vue à couper le souffle et où il y a un petit vent très rafraichissant.




 Les photos ne sont pas très bonnes, nous y retournons ce soir et je vous vous mets de meilleures photos dans le prochain blog. Il y a des arbres sur le toit de l'hôtel. Mai a prélevé un fruit et nous l'avons mangé à notre table. Une sorte de fruit qui ressemble à la pomme grenade, mais plus à l'orange, vraiment bon, je n'avais jamais vu ni goûté. Me reste le Dorian à essayer, pas pressé, je vous dis.

En attendant, j'ai demandé à Rhéal Fortin de voir ce qu'il peut faire dans le dossier de Mai et aussi Louise, la blonde a Bill qui m'a offert d'en parler à sa soeur qui était jusqu'à tout récemment une haute fonctionnaire de l'Immigration mais qui est très malade maintenant. Bien que nous sachions bien que peu de choses peuvent être faites, nous espérons tout au moins connaître un peu des raisons qui amènent Immigration Canada agir en " gros jambon bien gras fumé du Canada" comme ça.

Bonne journée, moi, je pars me restaurer quelque part à Phnom Pehn avec Mai, on en profite parce que ça ne durera pas, nous avons 4 mois, je dois revenir en mai...




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